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 GUIDE DE CROISIÈRE POUR
 LA RIVIÈRE DES OUTAOUAIS.

 (DU LAC DESCHÊNES AU BARRAGE DES CHUTES CHATS)

Les plaisanciers qui s'adonnent à la voile dans la région de la capitale nationale naviguent sur un segment de la rivière des Outaouais qui couvre une distance d'environ 28 milles. Bien que restreints, ils ont appris à tirer profit au maximum de ce plan d'eau qui est devenu un microcosme du monde de la voile.

La course sur la rivière des Outaouais ; ce plan d'eau est
le théâtre de plusieurs régates.
Le plan d'eau en question débute aux rapides Deschênes situés immédiatement à l'ouest des limites de la ville d'Ottawa, et continue en amont jusqu'au barrage hydro-électrique des chutes Chats près de la petite ville de Fitzroy Harbour. Il comprend bon nombre de marinas fort bien équipées, plusieurs mouillages dispersés de façon stratégique où on peut passer la nuit, diverses flottilles de voiliers de course de même qu'au delà de mille voiliers dont la plupart varient entre 25 à 35 pieds.

On compte un peu plus de 3 kilomètres (deux milles) entre les rives les plus éloignées de la rivière; c'est là que se trouve le lac Deschênes. Comme les vents prédominants soufflent de l'ouest ou du nord-ouest, quiconque navigue en amont peut s'attendre à louvoyer. Heureusement, le courant se fait à peine sentir dans cette partie de la rivière des Outaouais et la salubrité de l'eau y permet la baignade.

Les plaisanciers possédant un bateau pouvant être remorqué seront heureux d'apprendre qu'il y a des rampes à leur disposition (certains frais sont applicables) au Club de Voile de Nepean, à la marina d'Aylmer, et à la marina Port-of-Call. Les bateaux à tirant d'eau allant jusqu'à cinq pieds peuvent naviguer sans encombres sur ce plan d'eau malgré la présence de quelques hauts-fonds sur le lac Deschênes et dans les environs de la baie de Constance. Tout ce segment de la rivière est représenté sur la carte hydrographique #1550.

Idéal pour les croisières de 2 à 4 jours

Cette partie de la rivière des Outaouais est idéale pour effectuer une croisière pouvant varier de deux à quatre jours. Le départ se fera vraisemblablement de l'une des trois marinas/clubs de voile situés sur le lac Deschênes et la destination sera probablement soit l'île Mohr ou la baie de Pontiac. Les voiliers en partance du lac Deschênes rencontreront l'île Aylmer sur leur passage. La zone sud-est de l'île est un mouillage d'appoint très prisé par les plaisanciers qui y
Plusieurs voiliers sont ancrés au large de l'île Aylmer par un
chaud après-midi d'été pour une "petite saucette".
mouillent l'ancre pour la baignade ou pour faire une courte excursion sur l'île où les berges sablonneuses s'y font invitantes par les chaudes journées d'été.

L'île Aylmer était autrefois un cimetière Amérindien. Une fosse commune y a été découverte au début des années 1900 lorsqu'on effectua des excavations pour y construire un phare. Plusieurs autres fosses Algonquines y ont également été découvertes.

On remonte la rivière en passant du côté nord de l'île Aylmer. Ainsi, on évite les hauts-fonds qui se trouvent du côté sud-ouest de l'île. À environ six kilomètres en amont (quatre milles), on peut apercevoir la pointe Pinhey du côté ontarien de la rive. La pointe forme une jolie petite baie où il fait bon mouiller l'ancre pour la journée ou pour passer la nuit. C'est d'ailleurs un lieu de prédilection pour passer la nuit de vendredi afin de pousser en amont pour une croisière de fin-de-semaine.

Le mouillage offre un fond boueux qui est malheureusement parsemé de vieux billots ayant perdu toute flottaison depuis belle lurette. Malgré les efforts déployés pour s'en débarrasser, ceux qui restent peuvent rendre l'ancrage difficile à l'occasion.

Pointe Pinhey : site historique local

En 1820, un propriétaire de navire anglais nommé Hamnett Pinhey vint s'établir au Canada. Le roi lui avait accordé 1000 acres de terre sur les berges de la rivière des Outaouais pour services rendus pendant les guerres Napoléoniennes. Bientôt, Pinhey transforma ses terres en un domaine qu'il nomma Horaceville en l'honneur de son fils aîné. Il fut un temps où le domaine comprenait un moulin, une église, un magasin, des étables et un manoir.
Un mouillage dans les îles grecques? Non.
Un voilier ancré à la pointe Pinhey ; vue du site historique.
Le manoir est encore là et est ouvert aux visiteurs les fin-de-semaine pendant la saison estivale. Un petit quai est aménagé sur les berges de la propriété où les dinghies ou autres petites embarcations peuvent accoster.

Le dernier point de service pour les plaisanciers se trouve à cinq kilomètres (trois milles) en amont de la pointe Pinhey à la marina Port-of-Call. On peut y faire le plein d'essence (bien qu'il n'y ait pas de carburant diesel) ou profiter des services d'un mécanicien. Tout près de la marina on retrouve la plage Baskin située juste au sud de l'île Twelve Mile. Elle est située dans une petite baie où il est possible de mouiller l'ancre pour la nuit lorsque le vent souffle du sud ou du sud-est.

Le prochain point d'intérêt sur cette partie de la rivière se trouve à la baie de Constance. L'approche peut être délicate vue la présence de hauts-fonds de part et d'autre de la rivière. Ils sont bien balisés par des bouées de même que par deux marqueurs de position situés sur les berges près de la plage Baskin. Lorsqu'ils sont alignés, ces marqueurs permettent une navigation précise dans cette partie de la rivière.

Pointe Sand : histoire et mouillage

La pointe Sand se situe sur la berge nord-ouest de la baie de Constance ; le sud de la pointe procure un mouillage fort populaire pour la baignade. Bien que ce site fournisse un repère indéniable sur cette partie de la rivière, il était bien plus impressionnant au temps ou la rivière des Outaouais était l'artère principale du réseau de la traite des fourrures en Amérique du Nord. En effet, il y avait à cet endroit une grande falaise de sable qui, d'après les récits historiques, était à toute fin pratique disparue au début des années 1900 ; on s'était servi du sable pour des projets de construction.

Tout comme à l'île Aylmer, on a retrouvé les vestiges d'une présence Amérindienne à la pointe Sand. Des ossements humains ont été recouvrés dans le sable et on raconte qu'il s'agit des restes d'un clan de guerriers Iroquois qui aurait été embusqué par des coureurs des bois français et leurs alliés Algonquins ou Hurons.

Les Iroquois auraient posté une sentinelle sur la falaise de sable qui surplombait la rivière, comme c'était la coutume en ces temps. Le camp Iroquois aurait toutefois déjà été repéré par les coureurs des bois et leurs alliés Amérindiens. La nuit venue, ils auraient décidé d'attaquer les Iroquois qui étaient plus nombreux et mieux équipé qu'eux. Au milieu de la nuit, ils se seraient rendus en canot dans la partie sud de la baie de Constance où, sans faire de bruit, ils auraient accosté. De là, les coureurs des bois et leurs alliés auraient marché en direction de la pointe Sand, arrivant derrière le camp Iroquois. Leur attaque nocturne aurait pris les Iroquois totalement par surprise.

Bien que la partie au sud de la pointe Sand n'offre pas autant de protection des vents prédominants de l'ouest ou du nord-ouest que d'autres mouillages sur la rivière, plusieurs plaisanciers s'y installent pour la nuit lorsque le temps est beau. D'ailleurs, on y retrouve moins de moustiques que dans les autres ancrages qui en sont souvent infestés. Le fond sablonneux en pente s'étend à une bonne distance de la plage et permet un ancrage sans encombres. Les plaisanciers doivent être vigilants à l'approche de la pointe Sand dont la barre de sable s'étend loin sous l'eau.

Le mouillage de l'île Mohr vu de la rivière des Outaouais.
En amont de la baie de Constance se trouve l'île Mohr qui offre le mouillage le plus populaire de la rivière des Outaouais. Une petite baie procure une bonne protection des vents prédominants et le fond boueux permet un ancrage facile. L'île est située stratégiquement dans la partie ouest de la rivière et le mouillage en forme de "U" permet à une douzaine de bateaux d'y mouiller l'ancre. Bien qu'on puisse s'attendre à pouvoir y ancre sur semaine, il arrive parfois que le mouillage soit plein à capacité à la fin de la journée lors des belles fins de semaine. On doit également noter que la présence des moustiques, généralement absents au cours de la journée, se fait fortement sentir dès la tombée du jour. Les plaisanciers avertis seront munis de moustiquaires pour éviter ce fléau.

Il y a longtemps que le mouillage de l'île Mohr a une réputation de choix. Les récits historiques dénotent que Samuel de Champlain y a fait une escale d'une nuit tandis qu'il explorait la rivière des Outaouais à la recherche du passage du nord-ouest. Malgré les moustiques, Samuel de Champlain décrivit le site comme étant "une île fort agréable". Pour leur part, les royalistes pourront noter avec intérêt que le roi Edward VII, tandis qu'il était Prince de Galles, avait visité un poste de traite situé sur la pointe Crown, juste au sud de l'île Mohr du côté ontarien de la rivière.

Île Mohr : point de retour?

Les plaisanciers en provenance du lac Deschênes retournent souvent à leur port d'attache après s'être
Vue du défilé Woolsey situé entre l'île Mohr et Quyon..
rendus à l'île Mohr ; soit après une croisière de deux jours. Toutefois, les derniers dix kilomètres (six milles) qui restent à parcourir avant de se rendre au barrage des chutes Chats ont beaucoup à offrir à qui prend le temps de pousser un peu plus en amont. Cette partie du trajet nous emmène le long du défilé Woolsey au travers duquel des fils à haute tension sont suspendus à une hauteur variant de 21 à 37 mètres (70 à 125 pieds) au dessus de la rivière. Ces fils procurent une forte illusion d'optique vus du pont d'un voilier et une bonne mise en scène peut s'avérer très amusante lorsque le capitaine fait croire à ses passagers qu'il est incapable de juger si le mat les touchera ou non.

On retrouve en amont de l'île Mohr, du côté québécois de la rivière, le petit village de Quyon. L'approche au quai municipal se fait sans encombres et une fois amarrés on se trouve à quelques minutes de marche (entre six et dix minutes) d'une station service Petro-Canada qui comprend aussi un dépanneur et une laverie. En plus d'y faire le plein d'essence et de propane, on peut s'approvisionner de glace, de nourriture, bière et vin. À quelques minutes de là, on retrouve aussi le marché McCann, une banque, le restaurant Lynn' Cafe, un bureau de poste, de même qu'un Centre Local de Services Communautaires (CLSC) (le détaillant Home Hardware a fermé ses portes en 1977 après plus de de 20 années de service). La municipalité a d'ailleurs ajouté des quais pour accommoder les plaisanciers. Bien qu'il soit possible d'y accoster pour la nuit, le vacarme des moteurs diesels du traversier local peut être entendu jusqu'à tard en soirée.

Du quai de Quyon, on peut apercevoir le barrage des chutes Chats. Malgré ses points d'intérêt variés, cette partie de la rivière était ignoré des plaisanciers jusqu'à tout récemment. En effet, avant la construction du barrage, dans les années 1930, les chutes Chats comprenaient plusieurs chutes qui couvraient un secteur partant du coin est du barrage et se poursuivant jusque dans le coin ouest de la baie de Pontiac. Les chutes faisaient plus de 10 mètres de haut (35 pieds).

Le bateau à vapeur S.S. Ann Sisson amarré au quai dans la baie de Pontiac dans les années 1870. C'est là que les passagers débarquaient pour emprunter un chemin de fer tiré par des chevaux qui les déposaient de l'autre côté des chutes Chats d'où ils poursuivaient leur excursion.
Avant la construction du barrage, les chutes Chats étaient une attraction touristique de marque. Durant la période précédant la première Guerre Mondiale, on pouvait observer régulièrement des bateaux à vapeur (avec des roues à pannes) qui remontaient la rivière les ponts chargés de touristes. Il est intéressant de noter qu'on pouvait naviguer plus aisément dans la baie de Pontiac avant la construction du barrage. Dans les années 1800, des bateaux à vapeur faisant plus de 100 pieds de long se rendaient régulièrement dans le coin sud-ouest de la baie pour y débarquer les passagers en expédition sur la rivière des Outaouais. C'est là qu'ils empruntaient un moyen de transport pour le moins original, le chemin de fer tiré par un attelage de chevaux, pour contourner les chutes Chats. Le chemin de fer s'étendait sur une distance de trois milles au bout duquel les passagers embarquaient sur un autre bateau à vapeur pour poursuivre leur périple en amont.

Encoffrements retirés entre Quyon et le barrage

Les versions datées pré-1996 de la carte hydrographique #1550 signalent l'emplacement, entre Quyon et le barrage, d'encoffrements ayant servi au temps ou la rivière était une artère commerciale réputée pour le flottage des billots de bois. En réalité, ces encoffrements n'y sont plus ; au cours de l'été 1993, la Garde côtière les a fait enlever. On dit que leur hauteur a été diminuée d'environ deux mètres. Toutefois, cette opération s'étant déroulée lors d'une période ou le niveau d'eau était élevé sur la rivière, la prudence est toujours de mise lorsqu'on navigue dans les parages, surtout si on a un tirant d'eau appréciable. Il est intéressant de noter que la Garde côtière a créé une nouvelle île avec les matériaux recueillis lors du démantèlement des encoffrements. Elle se trouve dans des eaux peu profondes près des berges du côté du Québec.

Le parc provincial ontarien de Fitzroy se situe juste à gauche du barrage des chutes Chats. On y retrouve plusieurs emplacements de camping de bonne qualité ; des sites y sont disponibles la plupart du temps. Les personnes responsables du parc signalent qu'ils acceptent d'inscrire les personnes qui arrivent par bateau. Cette option n'est toutefois disponible qu'aux embarcations légères, tel les canots, puisqu'il y a rarement plus de deux ou trois pieds d'eau autour du quai du parc.

La baie de Pontiac est située du côté droit du barrage des chutes Chats. À l'écart et bien protégé des vents prédominants, ce mouillage pourrait surpasser en popularité celui de l'île
Voiliers ancrés dans la baie de Pontiac à la tombée du jour.
Mohr sur cette partie de la rivière. Les mouillages du côté sud de la baie sont aussi pittoresques et isolés que ceux qu'on retrouve dans certaines parties de la baie Géorgienne. Les berges offrent également de belles opportunités de randonnée pédestre, spécialement pour ceux qui aimeraient gravir la colline qui mène au haut du barrage des chutes Chats. La tranquillité des lieux a été quelque peu chambardée ces dernières années avec l'arrivée de plus en plus de plaisanciers et l'établissement du camp de vacances Tim Horton dans le coin nord-ouest de la baie. Malgré ces changements, la faune et la flore abondent et la baie garde toujours son aspect rustique. On peut d'ailleurs apercevoir à l'occasion des chevreuils s'abreuver au bord de l'eau tôt le matin.

De nombreux obstacles sous-marins font que la navigation dans la baie de Pontiac est malheureusement pénible. Les "Amis de la baie de Pontiac coterie", un rassemblement informel d'individus, ont installé des bouées privées pour démarquer le canal tortueux qui mène à la baie. Des bidons de gaz propane peints en vert ou en rouge font office de bouées ; parfois, on n'arrive à les distinguer qu'une fois rendus dans la baie. Il est important de noter que les gels et dégels répétitifs ont un impact sur l'emplacement des bouées d'une année à l'autre. Malgré les efforts déployés pour replacer les bouées "migratoires", quiconque navigue dans la baie de Pontiac le fait à ses risques et périls.

Danger près du barrage des chutes Chats

Le barrage des chutes Chats peut s'avérer dangereux pour les plaisanciers qui s'aventurent sur cette partie de la rivière. Les plaisanciers qui se rendent ou quittent la baie de Pontiac ne s'approchent généralement pas assez du barrage pour s'attirer des ennuis. L'endroit le plus dangereux pour les bateaux se trouve aux environs de la partie sud-ouest de l'île Alexandra. Lorsqu'on ouvre les vannes du barrage pour relâcher l'eau du réservoir, de forts courants peuvent rapidement se manifester. Au moins un accident peut être attribué à ces courants qui ont sérieusement endommagé un bateau en le poussant contre des rochers.

Le barrage est également responsable d'impressionnantes fluctuations du niveau d'eau sur cette partie de la rivière. En raison de sa proximité de la baie de Pontiac, tout changement notable de la quantité d'eau retenue ou relâchée par le barrage peut se traduire, dans la baie, en une fluctuation d'un pied d'eau en une nuit. En aval, l'impact du même changement se traduit en quelques pouces en 24 heures. Quiconque naviguerait dans des eaux peu profondes pour se rendre à son ancrage favori ferait bien de songer à la façon d'en ressortir advenant la possibilité qu'il y ait 12 pouces d'eau en moins le lendemain.

Une dernière chose à rapporter. Lorsqu'on s'aproche de la baie de Pontiac, on peut observer ce qui ressemble à un pont en construction sur la face ouest de l'île Alexandra. Il semblerait qu'il s'agit d'un quai aménagé pour le grand voilier "Blackjack" qui navigue sur la rivière des Outaouais.

À toute fin pratique, la baie de Pontiac représente la fin de la partie navigable de ce plan d'eau. À partir d'ici, on doit songer à retourner au bercail, vraisemblablement vers l'une des marinas ou club de voile qui se trouve sur le lac Deschênes. Le plaisancier qui effectue l'aller-retour entre le lac Deschênes et la baie de Pontiac aura parcouru 90 kilomètres (près de 60 milles), une distance qui saura satisfaire la plupart des gens qui partent pour une croisière de fin-de-semaine.


Écrit par Michael McGoldrick, Traduit de l'anglais par Lucie Napert.

© Michael McGoldrick & Lucie Napert, 1997.

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